Il va sans dire que la crise résultante du coronavirus a provoqué des répercussions dans le mode de vie de la majorité des Français. Et le secteur de l’immobilier n’échappe pas à ce fait. Toutefois, la conjoncture laisse prévoir une reprise du marché. Cet article se focalise sur les retombées de la pandémie pour les nouveaux investisseurs.
Un changement drastique au niveau du quotidien des Français
Les mesures sanitaires, le confinement et le développement du télétravail ont conduit les gens à privilégier une résidence secondaire. En effet, les sondages récents ont montré qu’environ 17 % des Français ont quitté leur appartement en ville et se sont installés dans un nouvel habitat en périphérie. Cela ayant pour but de minimiser le contact physique avec d’autres personnes. Le télétravail étant à la mode, le déplacement au bureau n’est alors plus obligatoire. Ainsi, les gens préfèrent un logement un peu éloigné, avec un espace vert à proximité. Le résultat obtenu est un rééquilibrage des prix des biens en ville et en périphérie.
Qu’en est-il des moyens financiers ?
Pour ceux qui visent à acheter un nouveau logement, les avantages procurés par les banques, mais surtout le taux d’intérêt pour un crédit immobilier n’ont pas beaucoup changé. Toutefois, les conditions d’obtention du prêt auprès des institutions financières sont plus strictes. Il faut savoir que les banques figurent parmi les plus touchées par les conséquences de la crise. Néanmoins, le secteur de l’immobilier présente le moins de risques en matière d’investissement. D’ailleurs, l’État français a établi des mesures d’accompagnement efficaces afin de mieux redresser le marché.